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En route vers l’Iron-Man – Introduction

Cet article est le premier d’une série qui a vocation à durer quelques temps. Je vais vous y présenter mon parcours et ma progression au fur et à mesure de mes entraînements en vue de devenir un finisher  iron-man. L’objectif étant de s’aligner sur un Iron Man en France courant 2021, soit dans 3 ans.

Il faut savoir que se préparer à cette épreuve demande un gros travail foncier d’habitude à l’effort et un cycle d’entrainement final assez long (environ 20 semaines). Mes années 2019 et 2020 seront donc  dédiées à la préparation foncière fondamentale et à la réalisation d’objectifs dans les catégories de triathlon inférieures à l’Iron-Man. Le cross-training (ou entraînement croisé en bon français) ne sera pas non plus à oublier et un déménagement prévu courant 2019 pour la région d’Annecy fera le plus grand bien ! En effet, je ne pense pas oublier mes objectifs niveau escalade et randonnée, moins ambitieux certes mais qui demanderont de l’investissement également.

Qu’est-ce qu’un Iron-Man ?

Si je cite Wikipédia:

L’Ironman est dans le langage commun du triathlon le nom donné à l’un des plus longs formats de la discipline.

En résumé, il s’agit d’une épreuve d’endurance demandant aux participants d’enchaîner :

  • 3.8km de natation (généralement crawlé, le crawl étant la nage la plus efficace)
  • 180km de cyclisme
  • et un marathon, soit 42.195km de course à pied

Rien que la dernière de ces 3 épreuves étant considérés par beaucoup comme difficile, vous pouvez donc imaginer le niveau de préparation qu’il faut pour enchaîner celui-ci après les deux premiers. La réalité étant que pour de nombreux débutants en triathlon, la discipline la plus effrayante est la natation. Pourquoi ? Car c’est celle qui demande la technique la plus aboutie et qu’en général les triathlètes ont démarré les sports d’endurance avec l’une des deux autres disciplines.

Pourquoi ce défi ?

La première question permettant de répondre à celle-ci serait: Pourquoi le triathlon ?

L’envie d’en venir au triathlon est apparu lorsque j’ai traversé le village des dossards du semi-marathon de Paris début 2018. Il y avait là un stand de présentation du triathlon de la Tour Genève, triathlon qui fut mon premier (une distance olympique) et que j’ai couru le 15 Juillet. Après avoir discuté un peu avec les personnes du stand, j’ai commencé à envisager le fait de m’aligner sur cette course. 3 semaines après le semi-marathon, j’ai fini par m’inscrire en me disant que ce serait un bel objectif pour cette année déjà !

Ensuite, je me suis documenté et documenté via des vidéos (merci Youtube) et des livres spécialisés sur les différentes disciplines. J’ai alors commencé à prendre vraiment goût à la diversité de la discipline. Très agréable de ne pas avoir de semaines redondantes mais de pouvoir, en fonction de l’humeur ou de l’envie, privilégier l’une ou l’autre des disciplines.

Pourquoi alors l’Iron-Man ?

Parce que dans la foulée, j’ai commencé à m’interroger au sens que je souhaitais donner à ma pratique sportive. Ce qui est sûr, c’est que je ne serais jamais professionnel, mais être amateur finisher me conviendrait. Mon passif en endurance (4 semi-marathons et 5 10kms en course officielles) me donne envie d’aller tittiller mes limites physiologiques. J’ai également envie d’ apprendre à structurer mes entraînements et de me fixer un objectif suffisamment ambitieux pour nécessiter un vrai suivi. Je pense que l’Iron-Man est le but qui me permettra ou m’obligera à tout ça. Egalement, l’année 2018 étant l’année de mes 30 ans, elle me fait réfléchir sur les objectifs sportifs que je souhaite cocher avant de pouvoir tirer un trait sur les “exploits”.

Bref, tout un ensemble de raisons qui me poussent à aller m’entraîner, avec un objectif d’accomplissement à moyen terme en vue !

Ce qui peut vous intéresser

Pourquoi suivre ma série d’articles ?

  • Pour vous tenir au courant des possibilités de progression qu’a tout un chacun. Je ne suis pas un surhomme.
  • Pour vous motiver également, pour en apprendre un peu plus sur les principes de base de structuration des entraînement. Je ne prétends pas être professionnel, mais j’essaierais de présenter régulièrement les règles que j’applique et de vulgariser les raisons.
  • Pour comprendre quels sont les enjeux personnels d’une telle épreuve. Car oui, on peut échouer.
  • Ou encore pourquoi pas, m’encourager un brin !

Bref, voilà le début d’une série d’articles qui s’annoncent sportifs ! Et je vais démarrer tout de suite en vous présentant mon premier triathlon, le Triathlon de la Tour Genève 2018 !

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Certificat finisher la tour Genève Triathlon 2018

1er chapitre : Le triathlon de Genève

J’ai entendu parler du Triathlon de la Tour – Genève car un stand concernant les événements sportifs autour de cette ville était présent dans le

4ème section: Digoin – Nevers

La suite des galères en terme de kilométrages. Lorsque je pars de Digoin ce matin-là vers 8h, les sensations sont bien meilleures que la veille.

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